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Comment archSpine Developement peut améliorer les techniques chirurgicales ?

Pour cela, le laboratoire innove en permanence pour trouver des techniques chirurgicales, plus simples, plus efficace, plus sûres. En neurochirurgie, archSpine a imaginé une nouvelle technique pour souder et consolider les vertèbres entre elles. En ouvrant simplement la peau sur 2 cm, (par une méthode per cutanée, à travers un simple tunnel) le chirurgien peut mettre en place en quelques instants, un implant courbe pour souder 2 ou 3 vertèbres entre elles, sans hémorragie, sans risques particuliers pour les nerfs ou les vaisseaux. Le contrôle est assuré par les rayons X.

 

Jusqu’à présent, pour souder entre elles, le chirurgien met en place 4 vis et 2 tiges. Le contrôle des vis se fait par radioscopie mais les vis étant obliques et la forme des vertèbres courbe, le risque de malposition des vis est compris entre 5 et 15%. De plus, pour mettre les vis il faut désinsérer les muscles lombaires. Certaines techniques appelées « percutanées » ou bien « minimal invasive » permettent déjà d’être moins agressives. Mais la vis courbe ADN permet d’être 4 fois moins agressive et 6 fois plus rapide que pour ces techniques déjà révolutionnaires. La fixation des vertèbres est simple et aussi efficace. Les test en laboratoire ont montré une résistance de l’implant à 15 000 000 cycles ce qui correspond aux contraintes de marche de 10 km par jour pendant 50 ans.

 

La particularité de la vis courbe ADN est la courbure justement. Lorsque le chirurgien opérait un patient, son axe de travail est perpendiculaire à l’axe de la colonne vertébrale. C’est pour cela qu’il utilisait deux vis par vertèbres, perpendiculaires à la colonne vertébrale puis il reliait les vis entre elles par des tiges pour fixer les vertèbres. Les tiges étaient dans l’axe de la colonne vertébrale mais étaient malheureusement en dehors des vertèbres. L’inconvénient était de ne pas travailler dans l’axe et de ne pas bien respecter la courbure anatomique de la vertèbre elle même et de la colonne vertébrale.

 

 La vis courbe ADN est courbe car elle permet au chirurgien de travailler perpendiculairement à l’axe de la colonne vertébrale en mettant en place un implant qui suit parfaitement l’axe de la colonne vertébrale qui est courbe. Ainsi, comme la vis est courbe elle s’adapte aux travées osseuses et à la courbure des vertèbres.

 

Elle est plus anatomique, elle est à l’intérieur des vertèbres et il n’y a pas de têtes de vis ou de tiges qui dépassent et sont dans les muscles. Les muscles sont intacts et parfaitement préservés. Mais le courbure ne suffit pas. Un implant juste courbe ne pourrait pas tenir solidement dans l’os. L’os est vivant, il ressemble un peu au bois d’arbre mais il est vivant. Une agrafe ou un clou ne tient pas bien dans l’os car en pénétrant l’os, le clou ou l’agrafe casse les travées osseuses et même si le clou ou l’agrafe sont posés en force, il peuvent s’arracher facilement. Seule la vis permet de pénétrer dans l’os et d’obtenir immédiatement puis aussi secondairement, sur le long terme, une fixation solide et stable. archSpine a donc inventé une vis, avec un double pas de vis comme l’ADN de nos chromosomes, qui est courbe. Ainsi l’implant a les avantages de solidité de la vis et les avantages de la forme naturelle du vivant: la courbure


 

 La vis ADN est simple, efficace et aussi sécurisée. Le contrôle se fait par radioscopie pendant l’opération mais c’est directement à l’intérieur du corps vertébral que se positionne l’implant. Le chirurgien peut contrôler à tout moment la bonne position de l’implant et éviter sereinement tous les éléments fragiles qui entourent les vertèbres. Il n’y a donc pas de risques que le chirurgien abîme un nerf ou des vaisseaux si il regarde simplement la radioscopie pendant qu’il met l’implant. Cette technique impose l’utilisation d'un appareil de radioscopie. Cela peut être un inconvénient mais a actuellement les appareils de radioscopies sont déjà utilisés systématiquement pour toutes les procédures avec implant. Nous n’avons pas diminué la quantité de rayon X utilisé pour les procédures chirurgicales mais toute la procédure est grandement améliorée. Il faut bien sûr continuer cet effort d’amélioration c’est pourquoi nous continuons à rechercher et développer sans cesse de nouvelles techniques chirurgicales innovantes et révolutionnaires